Trouver Charlie
Charlie est la vedette de la bande dessinée Où est Charlie ?, une série de livres pour enfants devenue un succès de librairie et un classique. Charlie se cache dans les scènes remplies que l’auteur a peintes sur chaque page, invitant les enfants à l’y trouver, au grand plaisir des parents. Ces derniers aiment aussi, le cas échéant, que leur enfant les invite à l’aider à l’y trouver.
L'espoir qui renaît
Sur son blogue, Gayla a raconté qu’elle avait redonné vie à un cactus trouvé dans la poubelle d’un immeuble à logements de son quartier. Elle a trouvé une tige qui donnait signe de vie, et avec un peu d’élagage, a redonné vie à la plante vraisemblablement morte qui fleurit à nouveau et qui pousse maintenant bien. Elle a expliqué en détail la transformation du cactus afin d’aider ceux qui croient que leur plante est fichue.
Une raison de chanter
Le chant modifie le cerveau ! Des études ont démontré que, lorsque nous chantons, notre corps libère des hormones qui nous soulagent de l’anxiété et du stress. D’autres recherches indiquent que, lorsque des personnes chantent ensemble, leur coeur se met à battre à l’unisson.
La vie et les pertes
Depuis le début de l’humanité, ce sont des ennemies continuelles. Récemment elles se sont immiscées dans la vie d’une amie qui regrettait de voir ses enfants ne pas marcher avec Jésus. Un autre ami pleurait la fin de ce qui avait été un mariage d’amour. Un membre de ma famille me regardait les yeux larmoyants tentant de former des mots en vain à cause de la démence. Un autre, rempli de chagrin suite à la mort de son père, m’a dit doucement : « Je ne peux pas croire qu’il est parti. »
Bagues et grâce
La vue de mes mains me rappelle que j’ai perdu mes alliances. Je les ai égarées un jour que je m’affairais à mille et un préparatifs de voyage, et j’ignore encore où je les ai mises.
Le plus beau parcours
Lorsque les motocyclistes arrivent près d’un tournant serré, ils essaient de regarder dans la direction où ils se dirigent de l’autre côté de la courbe. Cela leur permet de prendre le tournant en douceur et de continuer leur parcours.
Des tables simples
J’ai un ami qui a passé la majeure partie de sa vie avec des gens qui vivent en marge de la société : des pauvres, des sans-abri, des toxicomanes et toute autre personne qui ne vit pas selon les normes ou qui est rejetée par la société. « C’est avec eux que je semble avoir ma place, dit mon ami, en marge de la société. » Il aide les croyants en Jésus à apprendre comment nouer de véritables amitiés avec ceux qui sont différents. « Ce genre d’amitié n’est pas aussi compliqué qu’on le croirait », a-t-il insisté. « Parfois c’est aussi simple que de connaître le nom de la personne et de savoir comment elle aime son café. »
L’appel de Dieu
Un certain matin, ma fille a donné son téléphone cellulaire à son fils de onze mois pour qu’il s’amuse avec lui. Moins d’une minute plus tard, mon téléphone a sonné, et quand j’y ai répondu, j’ai entendu sa petite voix. Il avait appuyé à son insu sur le bouton de composition abrégée correspondant à mon numéro, et il s’est ensuivi une « conversation » mémorable. Mon petit‑fils ne sait dire que quelques mots, mais il connaît ma voix et y répond. Je lui ai donc parlé en lui disant entre autres choses combien je l’aime.
Défi de quinze minutes
Charles W. Eliot, qui a été longtemps président de l’université Harvard, était d’avis que quiconque consacrait au moins quelques minutes par jour à la lecture de grandes oeuvres littéraires pouvait acquérir une bonne éducation. En 1910, il a sélectionné des livres d’histoire, de science, de philosophie et d’art qu’il a compilés en un ouvrage de cinquante tomes intitulé The Harvard Classics. Chaque tome thématique incluait le guide de lecture de M. Eliot intitulé Fifteen Minutes A Day (Quinze minutes par jour), qui recommandait pour chaque jour de l’année la lecture de huit à dix pages en particulier.
Espoir étincelant
Assis à notre table, nous profitions d’une belle soirée en attendant que la serveuse vienne nous voir. Elle s’est présentée et, grâce à son entrain, le courant est immédiatement passé entre nous, même si nous venions de la rencontrer. Toutefois, au fil de notre repas, mon mari et moi avons relevé les commentaires d’autodénigrement qu’elle disait chaque fois qu’elle venait à notre table. Nous lui avons parlé avec assurance de la beauté de Dieu en elle et lui avons demandé de prier avec elle. Le lendemain matin, à ma grande surprise, j’ai reçu d’elle une demande d’amitié sur Facebook. Ni mon mari ni moi n’avions mentionné notre nom ou celui de l’Église où nous servons.